Archives de catégorie : Expositions à l’Illustration

Les expositions que j’organise à l’Illustration Bar – Lille.

Botanique et Vanités, Memento Mori & Haïkus

Brise d’été

Cette hirondelle

que fait-elle ?

Fraicheur dans trop d’été

… « Parce que les fleurs c’est périssable », comme le dit la chanson, la fleur, tout comme le végétal sont des sujets qui se prêtent parfaitement à une méditation sur le thème de l’impermanence de toute choses.

Historiquement, cela a été utilisé par les artistes d’époques et de culture différentes comme métaphore visuelle du caractère éphémère de la vie humaine.

Peindre des fleurs c’est donc se confronter à la notion de temps. Un temps qui passe, sereinement mais irrémédiablement. Un bourgeon s’ouvre d’un jour à l’autre. Une feuille commence à jaunir puis se froisse. Une fleur penche soudain la tête alors que l’heure précédente elle faisait encore face à la lumière.

Luzerne

La peinture de nature-morte existe dans les faits depuis l’Antiquité, mais elle est réellement définie en Flandres au début du XVIIe siècle comme la représentation picturale d’un ou plusieurs éléments « inanimés ».

Un sous-genre appelé Vanité va se développer aux Pays-Bas, car les peintres sont soucieux d’intégrer des notions morales dans leurs composition, pour faire de leur tableau un support de méditation.

Vanité à la coquille d’escargot

Le nom de genre « Vanités » est issus de la sentence de l’Ecclésiaste, livre de l’ancien testament :  « Vanité des vanités, tout est vanité ». Un langage symbolique va alors se développer via les objets.

Les objets représentés dans les oeuvres des artistes de cette époque, incarnent les activités humaines, les plaisirs, la richesse, le pouvoir et sont mis en regard avec d’autres éléments évoquant la destruction lente et irrémédiable de toutes productions humaines et le triomphe de la mort.

Le crâne, symbole universel, renvoie à l’égalité des hommes dans la mort. On qualifie une peinture où il se trouve de « memento mori » (souviens toi que tu vas mourir).

J’ai choisi d’aborder ces peintures, en pensant que la nature morte est appelée dans les pays anglo-saxon « still life » (comme la vie).

C’est sous l’angle du foisonnement et de l’harmonisation du vivant que j’aborde le thème.

« Memento mori » (Souviens-toi que tu va mourir) est dans mon interprétation, le second degré, qui permet d’apprécier la diversité des nuances de ce qui se présente à nous.

En attendant la mort, n’oublions pas qu’on est vivants.

Et pour cela, le haïku est parfait, en quelques mots j’ai tenté le partage de l’émotion de l’instant, un fugace moment de vie posé légèrement face à l’éternité.

Grâce à la collaboration avec la galerie Florence Collections, les oeuvres sont exposées à l’Illustration Bar au 18 rue Royale à Lille cet été 2024 et une partie de l’automne.

Ici, quelques haïkus accompagnent les visuels.

On les retrouvera ainsi que d’autres encore, édités dans le catalogue de l’exposition.

Memento Mori

Fleurs fraîches !

Memento Mori

le printemps revient cette fois encore

Vanité à la rosette

Papillon rose

dans les fleurs bleues,

pétales volant

Au bord de l’eau

Au bord de l’eau,

des pêcheurs dans les graminées

après-midi ensoleillée.

Le Rêve d’Ishtar

Ishtar

Avec la nouvelle exposition intitulée « Rêve d’Ishtar », nous voici à Babylone.

Les œuvres nous emmènent dans un ailleurs, elles apportent de l’étrange, du rêve, et invitent à une vision apaisée de notre monde intérieur.

Aya, l’aube

Ishtar, dans la mythologie mésopotamienne, sur des représentations datant du VIII ème millénaire av. J.C., est une déesse de l’amour et du désir. C’est en même temps une déesse de la guerre et des combats. Représentée sous un aspect à la fois sensuel et martial, elle porte ses armes sur le dos et est parfois ailée.

Couramment associée à la royauté elle est pourvoyeuse de cette dignité, ce qui d’ordinaire est plutôt associé aux dieux masculins. Une théorie politique de cette époque lui donne un rôle de premier ordre : si on est aimé d’elle, on peut obtenir souveraineté et titre royal par le biais du mariage sacré. Ceci, en plus de légitimer le souverain, assure la prospérité du royaume, le succès des récoltes, la croissance des troupeaux et la protection au combat.

Parfois en raison de la liberté qu’elle incarne en tant que déesse femme, c’est une divinité liée aux marges, avec un fort pouvoir subversif.

Parmi les animaux qui peuplent cet univers magique, on voit le lion, le symbole animal d’Ishtar.

Lion

L’avènement de Gilgamesh, un demi-dieu qui, de peur d’un sort funeste, refuse les avances de la déesse, marque le début d’une époque où, plutôt que d’être crainte et vénérée, la nature devient soumise et dominée.

La série d’œuvres peintes et dessinées de Florence présentée ici évoque le rêve sans âge d’un accord entre les êtres humains et la nature. La nature féminine, sacrée, y serait porteuse de paix et d’harmonie.

Le rêve d’Ishtar serait que les géants cessent d’abuser de leur force pour soumettre et contrôler une nature qui peut être effrayante, mais riche, et qu’ils choisissent plutôt de la considérer avec attention, afin de la comprendre et d’établir une coexistence pacifique faite d’échanges et de connaissances.

L’étage de l’Illustration est investi par l’artiste invité Jérôme Olivier qui a accepté de jouer le jeu de ce rêve.

Peinture de Jérôme Olivier : Le Plongeon

Exposition « Les Mille et Une Nuits »

Une vue générale de l’exposition

« Ô ma sœur, si tu ne dors pas, raconte-moi donc une de tes belles histoires…

… et elle (Shéhérazade) continua à dérouler ainsi le fil de ses histoires, l’interrompant à la fin de chaque nuit et le reprenant au cours de la nuit suivante. »*

« Shéhérazade avait lu des livres et des écrits de toute sortes, allant jusqu’à étudier les ouvrages des sages et les traités de médecine. Elle avait gardé en mémoire quantité de poèmes et de récits, elle avait appris les proverbes populaires, les sentences des philosophes, les maximes des rois. Elle ne se contentait pas d’être intelligente et sage ; il lui fallait encore être instruite et formée aux belles-lettres. Quant aux livres qu’elle avait lus, il ne lui avait pas suffi de les parcourir : elle les avait tous étudiés avec soin. »*

Alors, Shéhérazade avec la complicité de sa sœur Dounyazade, a raconté ses histoires nuit après nuit pour sauver sa vie, la sienne et aussi celle des autres femmes.

Certaines des œuvres et des tirages présentés dans cette exposition ont été réalisées avec un modèle vivant qui s’est prêté au jeu de la pause à l’atelier.

« Silène » : Huile sur toile

D’autres comme « Bagdad » ou « Oasis », inspirées du texte sont issues de l’imaginaire de l’artiste.

« Bagdad » : Tirage d’art sur papier.

Toutes sont des créations originales.

Les citations sont extraites des Mille et Une Nuits *

* « Les Mille Et Une Nuits » tome 1 (La tisserande des nuits). Édition établie par René R. Khawam

Cette exposition proposée par la galerie Florence Collections est présentée hors les murs, au bar l’Illustration 18 rue Royale à Lille

Chemins de vie

Janvier 2023. Une exposition pour l’illustration.

Vue générale

Des impressions, des émotions, des couleurs.

Parfois, parmi elles, la raison croit identifier certaines représentations, peut-être même des illusions…

ah l’amour !

Et puis décider d’en laisser une trace quand l’harmonie se met à exister et qu’on a envie de la partager.

Traces.

Les oeuvres présentées ici, sont comme des traces laissées sur le chemin de la vie, telles qu’elles apparaissent quand on envisage les paysages parcourus.

Paysages intérieurs, lumineux et mystérieux.

Happy Neurosis Islands matérialisées et offertes aux sensibilités aguerries, comme un écho silencieux.

J’aime exposer dans cet endroit ! 

L’illustration c’est un bar et un lieu d’exposition où je me sens bien et tout me laisse à penser que je ne suis pas la seule à l’apprécier et c’est tant mieux. 

C’est un plaisir de partager mon univers avec des personnes qui vont le considérer, si ce n’est l’apprécier. 

Un peu de chaleur et de fantaisie dans ce monde, il faut le cultiver.

Dans cette exposition je présente des oeuvres où j’utilise différentes techniques que j’affectionne. De la peinture à l’huile bien sûr mais aussi des acryliques sur du papier marouflé sur des planches de chêne, récupérées dans une vieille grange à la campagne. Il y a aussi des peintures à l’encaustique sur toile. C’est une technique qui date de l’antiquité utilisée en Égypte pour les portraits du Fayoum. J’avais souhaité l’expérimenter sur une série qui évoque un voyage en Afrique, et mes racines ancestrales.

Exposition « Méditation » au bar L’Illustration

Les dessins figurants dans cette exposition, ont été créés pendant la crise sanitaire qui nous a affectée en 2020 et 2021. Ils sont exposés au bar L’Illustration 18 rue Royale à Lille, dès sa réouverture après le confinement, dans la mesure où, c’est ici que se trouve mon atelier et j’aime y montrer mon travail, avant qu’il ne sorte vivre sa vie, que ce soit à la galerie Florence Collections à Wazemmes où dans d’autres lieux d’exposition.

Vue d’un des murs de l’exposition à l’Illustration

Mais, extraordinairement, ces dessins n’ont pas été réalisés ici.

Pourtant, j’apprécie particulièrement de travailler dans cet atelier, j’ai coutume d’y passer des heures partageant la vie du bar sans y être. L’odeur du café fraichement moulu, les rires qui fusent, les conversations, la musique que j’entends quand une porte s’ouvre tissent une atmosphère vivante et rassurante qui stimule mon imagination. Mais durant la période que nous venons de traverser, il en était tout autrement. Il n’y avait plus de rires, ni de conversations rien…

Malgré les quelques projets que j’ai pu réaliser, et avec tous les lieux d’exposition fermés je me suis vite sentie comme qui dirait, un peu vacante pour ne pas dire désoeuvrée, surtout quand sont venus les premiers frimas de fin d’automne. 

Mais, je ne manque pas de ressources et ceux qui fréquentent l’illustration savent que j’aime accompagner d’autres artistes (que moi) dans leur projet d’exposition ici-même. 

De plus, il se trouve que depuis un peu plus d’un an, je fréquente l’atelier de yoga René Kubiak qui non content d’être yogi et professeur de yoga est aussi un sculpteur de talent. 

Alors me voilà partie, pleine d’enthousiasme et de bonne volonté, à la découverte d’une oeuvre qui ne demandait qu’à l’être. 

Et de fil en aiguille, le naturel reprenant le dessus je me suis retrouvée couleurs, papier et pinceaux en mains, en train de réaliser toute une série de dessins inspirés à la fois par les sculptures sur l’installation desquelles je réfléchissais et par les séances de méditation que notre sculpteur/yogi avait décidé d’organiser pendant que je dessinais.

Je suis enchantée de partager ici le témoignage de ces moments hors du temps constitués de paix et d’harmonie. 

Séance de dessin du 9 février 2021

Avec mes dessins est exposée une sélection des sculptures de René Kubiak afin d’évoquer l’atmosphère qui a présidé à leur création. Pour ceux qui souhaitent aller plus loin, l’exposition des sculptures est installée à l’atelier de yoga René Kubiak 95, rue Léon Gambetta à Lille (site de l’atelier de yoga) et mes œuvres sont visibles en permanence à la galerie Florence Collections 3, rue Charles Quint, Lille – Wazemmes (site de la galerie).

Namasté

Une vue de l’exposition Méditation à l’Illustration : un des dessin et trois sculptures

La poésie s’expose, la vie explose !

Depuis le 14 février 2017, quelques unes de mes peintures sont exposées à l’Illustration 18 rue Royale à Lille l’exposition s’intitule : « Couleurs et Légendes »

Peintures - Femme - Chimères - Animaux

Couleurs, liberté intérieure, contes, mythes et légendes sont au cœur de mes œuvres.
Peintures et sculptures font état d’un monde où l’imaginaire éclate dans toute sa singularité, révélant « passages » et sensibilité profonde à l’inconnu… Elles nous emmènent dans un ailleurs, apportent de l’étrange, du rêve, de la poésie, de l’inattendu et une autre vision du monde !

Air Braderie à l’illustration

Un air de braderie à l’illustration ?
On arrive !
Et dans mes cartons il y a des objets porte-bonheur, des céramiques, des images pour rêver et ma curiosité pour fouiller parce que pendant tout le week-end nous serons quelques un(e)s à déballer !!!
Soyez les bienvenus !
Ça se passe à l’étage de l’illustration au 18 rue Royale à Lille

Jubilation « s » à l’Illustration

 

Jubilations - bleue - Peinture

JUBILATION « S » à l’Illustration
La nouvelle exposition que je propose à l’illustration bar est pleine de cette belle énergie qui me traverse. J’y partage sous le titre de : – JUBILATION « S »- des éclats de rire et des éclats de voix, mais  aussi un flash de souvenirs : expression de visions embrumées ou même un peu sensuelles… une exposition sous le signe du plaisir !

Une photo de l’accrochage : personnellement, moi, sur une échelle je ne répondrais pas au téléphone mais certains sont plus intrépides que d’autres…

Richard au téléphone

Richard au téléphone !?!

Une vue du premier mur ! Le mieux est encore d’aller voir sur place à l’Illustration devant un petit café, ça le fait !

Vue d'ensemble d'un des murs

Vue d’ensemble d’un des murs

 

Maggga aka Magali Choquel

Depuis début juillet Magali Choquel expose à L’illustration voici un extrait de la présentation qu’a ma demande, elle m’a transmise.

Son expo lui ressemble, fraiche et pleine d’élan, à voir jusque septembre

En plus, chaque toile vendue reverse 5% à la ligue contre le cancer et jusqu’en septembre 5% au projet   » girls on fire  » de 3 femmes pompiers d’Armentières

PETITS ÉCRIS SUR MAGGGA :

Par Magali Choquel, synthétiquement :

Mon travail consiste à représenter symboliquement le lien qui nous unit au monde, ou celui qu’il nous appartient d’inventer.
C’est par le prisme de la couleur, de ses métissages et de ses contrastes que je cherche à mettre en forme des émotions identitaires universelles, tissant le pluriel au singulier, le singulier au pluriel, vous invitant alors à la pensée… paradigme d’une poésie universelle.

Magali Choquel

Par d’autres :

« Le bazar coloré de Maggga se propulse, s’écoule sur la toile comme s’écoulerait un dessin de môme Son bad painting faussement naif est pourtant bien loin du jardin d’enfant. Jardin d’eden, jardin d’humain jardin d’enfer, les lignes de maggga s’entortillent en lignes de forces en lignes de failles. A la croisé des mondes, l’artiste nous ouvre de nouvelles perceptions. » Rollingman poète et slameur

« Des doigts de Magali
Des doigts de Magali s’envolent des oiseaux Des cerfs volants de sang en perles de crachat Et des fleurs omnivores abreuvées aux cheneaux Jardinière d’Eden sa main les détacha Des saveurs d’une menthe aux couleurs du piment Ma terreur délicieuse pieuvre ornée de rubis Basculant comme au soir de mes enivrements Maëlstrom azuré dans mon lit se creusant Contempler ce qui naît des doigts de Magali C’est sniffer une ligne allumée de Kerouac Dérouler le rouleau de la route en folie Visiter des planètes en un vaisseau foutraque Des doigts de Magali s’envolent des oiseaux … » FELIX BOULé . critique littéraire et poète

R.H.V. :
Radiographie d’une Horde de Valses
Réminiscences en hypothèses Voltaiques
Révolte Habitée de Visions
Réécriture pour un Hors-jeu Viscéral
Résistance de Haute Voltige
Récolte d’Heures de Vols
Royaume, Hacienda, Vecteur,
Résonnance, Hachures, Vrille,
Reliure, Habillage, Valises,
Recueil, Hectar, Voix,
-R-EPEINDRE, -H-ALETANT TOUTES -V-ERITES,
Reverse Home Vidéo by Maggga

Magali Choquel

LES SIXIEMES CONTINENTS :
 » Quand tu prendras la mer
Elle sera sémaphore
Quand tu verras la terre
Elle deviendra le port
Quand t’auras plus le ciel, elle sera ton étoile
Comme un point de lumière vient éclairer la toile

De peintures en dessins, on dessine nos vies
On s’ébat dans les seins, dans les seins on s’écrit
On crie tout notre amour à ceux qui n’entendent pas
A chanter sur les toits, sûr qu’on cherche sa voie

Elle fera couler ruisseau quand t’auras plus les armes
Quand tes yeux n’auront plus, oui, qu’à sonner l’alarme
Quand l’horizon devant ne sera que la plaine
Elle deviendra colline, elle deviendra la cime

quand tu chercheras trop, oui, à quoi tout ça rime
Quand t’auras tout vendu, ton âme et ta sublime
Elle te fera les gestes qui font les poésies
Et puis qui sait dedans, oui ce qui fait la vie

Qu’importe les chemins, que nous prendrons ensembles
Qu’importe sous quels cieux seront nos mains qui tremblent
Et puis si la vieillesse vient frapper à la porte
C’est qu’on aura vaincu ce temps qui nous escorte
Je serai avec toi combattant impossible
Je t’apprendrai à voir ce qu’on garde invisible
Et s’il faut que chaque jour je devienne soleil
Pour éteindre la nuit, pour éclairer ton ciel

Oui nous serons rois demain mon amour toi et moi
J’irai chercher de l’or pour chacun de tes doigts
Et quand les océans te monteront aux cils
J’irai au fond des mers du noir de tes pupilles
Et s’il faut que chaque jour je devienne soleil
Pour éteindre les nuits, pour éclairer ton ciel

Nous serons rois demain mon amour toi et moi
J’irai trouver de l’or pour chacun de tes doigts
Et quand les océans viendront noyer nos terres
Nous suivrons les printemps, nous suivrons la lumière

Oui quand les océans viendront noyer la terre
Nous serons le printemps, nous serons la lumière… » Damien.Saez

Maggga à son vernissage

Maggga à son vernissage

ALLÉGORIE POUR UN AVEU :
« tout le monde dit ça.. je voudrais dire autre chose »
Serge Gainsbourg.

Voyage de papier

Brice et Cecile

Cécile Boudeulle et Brice Dumas sont partis 3 mois au Japon l’année dernière pour dessiner.

Brice plutôt avec de l’encre de Chine et des pastels gras. Cécile à l’aide de tampons gravés dans des gommes et des empreintes de végétaux, et à partir de textiles comme le feutre de laine. Tout le long de ce voyage ils ont fait un très beau blog où ils ont partagé leur périple il s’intitule : Voyage de papier

Brice et Cécile - Exposition - Dessins - Gravures - Laine feutrée

L’objectif final est d’en faire le livre de leur voyage. En attendant, je les ai accueilli, tout est sur les murs de l’Illustration ! Et il y a beaucoup à voir.

Dépaysement garanti !

Brice et Cécile