J’ai découvert que le mot jazz pouvait venir du parfum de jasmin que portaient les prostituées de la Nouvelle Orléans, ou bien encore de l’expression ça va jaser.
Ça n’a rien à voir avec de la musique, ça me plait beaucoup !
J’ai découvert que le mot jazz pouvait venir du parfum de jasmin que portaient les prostituées de la Nouvelle Orléans, ou bien encore de l’expression ça va jaser.
Ça n’a rien à voir avec de la musique, ça me plait beaucoup !
Un air de braderie à l’illustration ?
On arrive !
Et dans mes cartons il y a des objets porte-bonheur, des céramiques, des images pour rêver et ma curiosité pour fouiller parce que pendant tout le week-end nous serons quelques un(e)s à déballer !!!
Soyez les bienvenus !
Ça se passe à l’étage de l’illustration au 18 rue Royale à Lille
Je viens de terminer un carnet de croquis.
Nous l’avons filmé, pour le partager alors que je le feuillette, plutôt que de l’oublier sur une étagère.
Il y a des fois, c’est frais, c’est rythmé, ça chante à l’œil, alors pourquoi s’en priver ?
Rose
Un jour, j’ai sorti tout mon barda : parasol, tapis de paille, chapeau, crème solaire et bouteille d’eau. Un équipement pour tenir des heures en pleine canicule.
Et bien je vous le donne en mille, il s’est mis à pleuvoir ! L’orage a éclaté et j’ai du m’enfuir avec mon croquis, que j’ai fini à l’intérieur, en regardant par une fenêtre la pauvre rose qui m’avait inspirée, perdre ses pétales sous la pluie.
Mais mon dessin a gardé toute la lumière du soleil d’été.
J’appelle ça un « safari croquis ». Je pars avec mon carnet, un pot étanche, un pinceau et une petite boite d’aquarelle.
Une petite route de campagne
Prairie
Que l’année 2015 soit belle, tendre, glorieuse, pleine d’art et de poésie !
Il flotte encore un parfum de vacances, et en même temps tout semble neuf, tout à l’air d’un nouveau départ, nouveau lycée, nouveaux amis, nouveau sac, nouvel agenda, nouvelle vie !
Profites-en ma belle !
Soucis
Herbes
Soucis en bouton
Paysage
Liserons
Le Crocodile
Un jour, au bord d’un grand fleuve d’Afrique, Le Zambèze ou alors le fleuve Niger à moins que ce ne soit le Nil ou le fleuve Congo peut-être. Bref, un jour un scorpion demande au crocodile de le prendre sur son dos pour traverser cet immense fleuve qu’il ne peut pas franchir lui même. Le crocodile interloqué lui répond : « ça ne va pas bien dans ta tête ! il n’est pas question que je te laisse m’approcher, je te connais, tu vas me piquer ! »
– « mais non, mais non dit le scorpion ! si je te piquais , je me noierais, je ne vais pas faire ça, je t’en donne ma parole »
Alors, après réflexion, le crocodile appréciant d’avoir un peu de compagnie pendant la longue traversée du grand fleuve accepte de prendre le scorpion sur son dos.
Et les voilà partis.
Et voilà qu’au milieu du fleuve le scorpion pique le crocodile et le repique et le pique encore !
Mais qu’est-ce que tu fais ? dis le crocodile à l’agonie, nous allons périr tous les deux !!
Et le scorpion ne peut que répondre dans un dernier souffle avant de se noyer : » Désolé, mais piquer, c’est dans ma nature ».